Comment récupérer un compte Gmail bloqué ?
Horreur ! Lorsque vous tentez de vous connecter à votre compte Gmail, avec votre nom d’utilisateur et mot de passe correctement, Google vous informe que « Votre compte a été désactivé ».
Vous pouvez essayer la connexion à nouveau, rien ne le fait.
Lire également : L'impact d'une encyclopédie collaborative en ligne sur l'éducation moderne
Qu’ est-ce qui se passe ?
Vous avez probablement été victime d’un spammeur, qui a emprunté votre adresse pour envoyer de nombreux messages de spam. Vous devez l’avoir remarqué ces derniers jours par la présence de messages d’erreur inhabituels dans votre boîte de réception en réponse à des e-mails que vous n’avez pas envoyés.
Pour protéger son service, Google a temporairement fermé votre compte : « Si nous détectons une utilisation anormale pouvant indiquer que la sécurité de votre compte a été compromise, nous pouvons désactiver temporairement l’accès à celui-ci. »
A découvrir également : Découvrir RATP Urbanweb : fonctionnalités et accès à la plateforme
Notez que les correspondants qui vous écrivent lorsque votre compte est désactivé reçoivent un message d’erreur (notification d’état de livraison) : Statut : 5.1.1, Code de diagnostic : smtp ; 550 5.2.1 Cet utilisateur Gmail est désactivé.
Notez que Gmail peut également désactiver votre compte pour « utiliser le stockage de fichiers ou le partage de logiciels, extensions de navigateur ou logiciels tiers qui se connectent automatiquement à votre compte »
Comment réactiver mon compte ?
Vous ne pouvez pas réactiver votre compte Gmail vous-même.
Nous vous recommandons d’envoyer un message au Centre d’aide Google expliquant simplement la situation. Si vous n’avez pas de réponse personnalisée (vous pouvez avoir une réponse automatique en anglais), votre compte doit être réactivé « entre 1 minutes et 24 heures « , précise Google.
En attendant, dans le cas où votre ordinateur est infecté, vous pouvez toujours le tamiser à partir d’un antivirus ou d’un antispyware comme Spybot — Search & Destroy.
